Faisant partie des différents modes de vente immobilière, le viager consiste pour un vendeur, à céder son bien à un acheteur, moyennant le versement d’une somme mensuelle convenue jusqu’à son décès.Si l’acquéreur semble être la partie la plus vulnérable dans ce contrat, il importe de le guider dans son choix de même que le vendeur.
Les calculs liés à la vente
L’un des critères auxquels le futur acheteur fera attention, c’est l’âge de son cocontractant. Certes, ce dernier doit avoir plus de 60 ans, plus il est jeune, plus le paiement de la rente durera. Par ailleurs, s’il a signé la vente avec un couple marié, le vendeur aura à s’acquitter de ses dettes jusqu’à la disparition des deux époux.
Cela dit, l’acquéreur doit se tourner vers un spécialiste pour une détermination adéquate du montant de la rente. Celui-ci lui expliquera également tous les autres frais auxquels il devra faire face, dans le cadre de cet achat en viager.
Le vendeur n’est pas entièrement à l’abri…
Il lui faut aussi s’adresser à des professionnels, car il a tout intérêt à connaître la valeur réelle de son bien. De même, il peut être confronté au non-versement de la rente. Pour éviter ce problème, vous devez insérer une clause résolutoire dans le contrat, pour pouvoir le faire annuler plus tard.
Quoique méconnu, le cas de l’acheteur en faillite engendre bien des désagréments. En effet, lorsque le vendeur ne s’en aperçoit pas avant de signer, il ne peut plus rien faire, quand son cocontractant sera incapable de payer les rentes.
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