L’estimation de la valeur d’un bien immobilier dépend de plusieurs facteurs. La localisation, le type construction ou encore les performances énergiétiques sont autant d’éléments à prendre en compte.
La situation géographique
Tout d’abord, il faut savoir que la situation géographique impacte largement sur l’estimation d’un bien immobilier. D’un emplacement à un autre, la valeur des logements varie selon l’environnement, le type de quartier et les infrastructures aux alentours. Une situation idéale par rapport aux réseaux routiers apportera donc un plus. De même, une maison implantée dans un quartier calme aurait moins de valeur si elle avait été construite dans une zone moins privilégiée ou bruyante. La présence d’espaces verts, d’aires de jeux ou de stationnement, la proximité d’écoles ou de centres hospitaliers sont également des atouts importants, largement en faveur de la cotation des structures immobilières.
La qualité du logement
L’état général, l’âge et la qualité du logement sont également des points forts à prendre en compte. Une maison neuve ou récemment rénovée sera nettement mieux cotée qu’un logement laissé en l’état. L’installation d’infrastructures spéciales, comme le chauffage intégré augmente également la valeur du logement. De nouveaux critères ont été pris en compte depuis 2011, année qui marquera la présence obligatoire du DPE (Diagnostic de Performance Energétique) dans les annonces immobilières. Actuellement, un logement bénéficiant d’un bon DPE, et qui est donc performant au niveau de la consommation énergétique, bénéficie d’une cote favorable à l’échelle des valeurs immobilières.
Leses critères d’évaluation des biens immobiliers sont assez nombreux, avec une liste non-exhaustive de paramètres. Dans nombre de cas, le résultat des estimations dépendra bien souvent de la fluctuation et des variations du marché du logement.
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